"Ma chéwi je suis content de t'avoir au près de moi" =3 [PV Licia et Fusa].

Il faisait frais quand Ils arrivèrent à la demeure de Fusasaki. Alicia semblait s'être endormis, lovée dans les bras de son compagnon, qui, cela dit, ne s'en était pas rendu compte. Mais, en arrivant, elle s'était réveiller, ne sentant plus le vent lui fouetter gentillement et doucement la figure. Fusasaki la fixa; il l'avait installé sur le lit de sa chambre et l'observait à nouveau, ne pouvant dérouter son regard. Puis, il déposa un doux baiser sur ses lèvres et lui dit:

Tu a faim ma choupinette? Je vais te préparer de quoi te ravir le palais... mieux que la repas de ce midi!!

Puis il éclata de rire, se rappelant de la serveuse. Il déscensdit les petites marche d'escalier et traversa le beau salon. Cette dernière pièce était ovale contenant un salon, deux lampes de chevet une bibliotheque et un vase avec des fleurs. Puis, la cuisine était rectangulaire, quoique pas trop grand non plus. Contenant une table à manger etr des placard de cuisine et la paillasse assortie, sans oublier la gazinière, elle restait une mignone petite cuisine. Il sortit du frigo un morceau d'agneux et le fit rotir au four, pendant quelques minute. En attendant, il alla voir sa chewi. Il remonta l'escalier et, en la trouvant sur le lit, toujours réveillée, il alla lui crasser l'oreille du bout du nez et susura:

Je t'aime Anieth, mais là il faut qu'on déscende. Sa te dis de venir regarder la télé avec moi? Tu t'assira sur moi et je te bercerai jusqu'à l'heure du repas.

Il la prit dans ses bras, son torse toujours nu, et l'emmena sur le divan où il s'assit, Alicia sur lui. Il la caressa, sans s'arrêter, l'embrassant sans arrêt. Pas de doutes là dessus: il l'aimait! C'était l'élue de son coeur...

Il la posa un instant sur le divan en lui disant qu'il devait continuer son repas. Il la laissa donc se reposer de ses caresses et de ses baisers et se dirigea vers la cuisine. Il avait fais cuire entre temps des grains et une sauce à l'ananas, qu'il estima délicieuse. Puis, préparant les couverts et les ùmena à Alicia, souriant.
D'aileurs, celle-ci n'eut pas à demander sur quelle table ils mangeraient, la table s'attira devant le divant, leur permettant de manger tout en se raposant devant la télé. Bien sûr, le coup de la maison d'un soir avec une copine et s'envoyait en l'air, il n'en prenait pas compte. Si Alicia lui en donnait la permission, Il fearit ce qu'il a a faire. Mais, en aucuns cas il ne voulait la brusquer!

Il s'en alla une dernière fois prendre leur plat et Installa Alicia sur lui, de façon à ce qu'elle puisse manger sur lui.

Ca va comme sa chewi?

Il frotta son nez au sien comme à la maniere des animaux puis l'embrassa, débutant ainsi le début du repas. Il avait zapé sur une chaine de film d'horreur, et commançait à manger, tout en caressant sa Chewi en meme temps...

J’ai faim……….. Qu’est-ce que je peux avoir faim !!! Il faut dire que cette entrecôte ne m’a pas rassasiée, et pourtant, je ne pouvais pas la finir. Mon corps était plus léger maintenant, c’est bizarre, qu’est-ce fait de bien dur sinon m’avouer à moi-même que j’étais tombée amoureuse d’un vampire aux yeux doré et rouge par temps de faim, avec des cheveux blond et soyeux. Que pourrais-je trouver comme défaut à Fusa !! C’est drôle je lui ai déjà trouvé un petit nom !! Fusa et Licia !!! Ça sonne bien je trouve ! Oublions ! J’en étais à mon corps qui était tellement léger que je me sentais même pas portée par mon âme sœur. Ce n’est qu’en me réveillant que je me rendis compte qu’on m’avait emmené quelque part, autre que le devant d’un restaurant où une serveuse nous observait comme un oiseau sur un arbre à chanter pour faire diversion. J’étais allongée sur quelque chose de mou et de confortable, mon dos n’en demandait pas autant. Tout en gardant les yeux fermés, je m’installai confortablement sur cet objet doux et mou.
Après tout cela, j’ouvris enfin les yeux et je le vit dans toute sa splendeur et toute sa sagesse comme entourée d’une aura angélique. Mon cher et tendre, Fusa. Il me donna un de ces fabuleux baisers sur le front et me scruta comme une œuvre d’art :

Tu a faim ma choupinette? Je vais te préparer de quoi te ravir le palais... mieux que la repas de ce midi!!

Comment pouvait-il lire dans mes pensées. J’aurai dit, que ça tirait du miracle mais je me tue. Je préférer lui montrer mon airdésespérer et un air joyeux aussitôt quand je compris qu’il allait faire à manger, tell une mère qui nourrissait son enfant. Il partit aussitôt, ce qui fut triste, j’avais encore envie de le regarder, de l’étudier, de le scruter pour en savoir un peu plus sur son physique et essayer de comprendre comment ce faisait-il que cette personne est comblée mon cœur rien qu’en me disant bonjour dans une bibliothèque et en m’invitant un manger un truc dans un resto pas loin. Un reccord, en une journée, mon cœur fut enchaîné au sien, ce qui plut beaucoup. Incroyable, que j’acceptai de me soumettre à un homme était tirée de l’exploit, je devais m’en rappeler pour le dire à mes futures connaissances.
J’étais tellement concentrée sur mon débat qui confronter mon moi et mon moi que je n’avais pas remarqué l’absence de Fusa et lorsqu’il revena, c’est comme si il «était jamais partit.

Je t'aime Anieth, mais là il faut qu'on déscende. Sa te dis de venir regarder la télé avec moi? Tu t'assira sur moi et je te bercerai jusqu'à l'heure du repas.

J’acceptai de le suivre et je me mis à me lever toute seule et je commençais à marcher vers l’escalier. Comme un vrai gentleman, il m’aider à descendre comme un vrai… majordonne même. Je me mis sur le fauteuil et il me laissa avec la télé pour préparer le repas et je pus sentir la belle odeur d’agneaux. Je gémissais à quel point ça allait être bon : j’en étais impatient. Je regardais, le programme de la télé et je ne vis pas grand-chose d’intéressant. Je n’étais pas contre un film d’horreur, mais oui, les filles ont peurs de ce genre de film et c’est le seul moment où les garçons peuvent montrer leur durcité envers les évènements comme la mort, mais moi qui suis né dans l’horreur, je n’en ai pas peur, Dommage !! J’aurais bien aimé qu’il me protège de ces bêtes immondes. Même la table de fusa qui s’était déplacée toute seule ne me fit pas sursautée. Fusa revenait avec des couverts et s’asseyait à côté de moi. Il mit ce que je pressentis un film d’horreur :

Ca va comme sa chewi?

Evidement que ça va !! Pourquoi ça n’irait pas je vis la soirée la plus amusante et la plus importante de toute ma vie, on ne peut pas s’ennuyer avec un programme pareil. Ceci fut les seuls mots de méchanceté qui faillit sortir de ma bouche. Je mangé un peu pour lui dire à quel point son repas est un délice et je me mis à glousser de joie. Je lui caressais la joue et je me réchauffer avec son corps qui était le plus beau de toute la terre. Je prenais une bouchée d’agneau et je me mettais sur lui et le l’embrassée à n’en plus finir, jusqu’aux moments ou il se rappela qu’il fallait qu’elle se retienne de ne pas le manger.

-Tu sais, si je ne me contrôle pas je vais finir par te tuer sans le vouloir, tu devrais me surveiller un peu au lieu de perdre la tête en me voyant. Ou on est ???? Chez toi !!! C’est une maison ou un appart’ ???

Je sentais qu’il n’allait pas me forçait à faire quelque chose que je ne veux pas faire et j’étais cotent qu’ils comprennent. Comme une petite amie modèle je mis ma tête contre son ventre et je regardais le film avec intérêts. « «La pauvre, elle s’est fait tuer par un vampire !!!!! »

[un rp d'exeption, pour un homme d'exception!!!!
Amuse toi bien!!!!!]

Fusasaki se sentait absolument bien dans les bras de sa chewi d'amour. Mais elle s'arreta en action et fit plutot:

-Tu sais, si je ne me contrôle pas je vais finir par te tuer sans le vouloir, tu devrais me surveiller un peu au lieu de perdre la tête en me voyant. Ou on est ???? Chez toi !!! C’est une maison ou un appart’ ???

Oh non: elle recommençait! M'enfin, Fusasaki n'allait pas nier. Enfin si! Il savait pertinemment qu'elle ne pouvait le manger! Mais, au lieu de la rappeler à l'ordre, il se borna à sourir. Il la regarda s'allonger sur son torse imposant de musculature mais doux quand on s'y frottait. Il posait de temps en temps quelques baisers dans ses cheveux, la faisant rougir jusqu'à la tête.

Tu es chez moi, ma douce colombe. Je t'y ai amener car je ne trouvait pas les ruelles sombres très reposantes...

Il sourit et se pencha pour embrasser ses lèvres rousies pourtant froides comme la glace. Il l'embrassa langoureusement et lui arracha finalement le sourire qu'il voulait. Puis il continua.

C'est une maison que j'espère rassurante pour toi, Anieth... Et puis, ajouta-t-il calmement. Tu ne me tueras jamais, ma chewi! Seul dieux et quelques-uns le peuvent. Mais, toi, douce être, tu ne peux me détruire, je t'aime et tu m'aimes plus que tout. A moins que je me trompe. Mais je ne pense pas; mon amour pour toi est irréversible. Maintenant je ne te force à rien.

Il sourit, espérant ceci comvainquant. Puis, la rembrassant, il fit durer ce doux baiser. Sa langue lui procurait un bien fou. Puis, sans crier gars, il la prit par la taille et l'enlaça fortement, la laissant quand meme le loisir de respirer. Puis, il l'embrassa fortement, comme si cette amour serait rompu au lever du jour. Il ne savait plus où mettre ses bras. Il décida de les placer au niveau de son bassin, carressant doucement sa peau nu à cette endroit (attention, c'est pas un acte vicieux u_u). Puis, continuant de l'embrasser, il se rappela qu'elle était en sécurité ici. Toujours torse nu, il la fit s'assoir sur lui, appuyée contre sa chair. Il l'a berça tranquilement en lui fredonnant un air aléatoire. Mais, tout de meme, ce n'était pas un air forcément pour faire dormir. C'est vrai: qu'est ce qui le prouvait qu'elle voulait dormir?

J'aime cette effet que tu me procure, Anieth. J'ai vu, pendant que tu dormais, une vision qui ne m'arrive que rarement: je t'es vu, toi, moi, gambadant sous le soleil nous éclaircissant la peau. Comme quoi tu ne me mangera pas. J'ai fois aux destins que nous divulguent les Dieux... J'ai fois en toi, Anieth...

Il demeura immobile, attendant sa prochaine réplique ou un quelquonque signe d'étonnement tout en humant sa tête chevelue et en embrassant ses fines lèvres...

-J'aime cette effet que tu me procure, Anieth. J'ai vu, pendant que tu dormais, une vision qui ne m'arrive que rarement: je t'es vu, toi, moi, gambadant sous le soleil nous éclaircissant la peau. Comme quoi tu ne me mangera pas. J'ai fois aux destins que nous divulguent les Dieux... J'ai fois en toi, Anieth...

Il a foi en moi. Pourquoi faut-il qu'on me donne tous les avenirs dans ma main. J'en ai assez de décider toute seule. En plus de tout ça, il nous gambadant sous le soleil!!! Il fait des rêves étranges mon chewi, ça il faut le dire; Mais bon ce n'est ça qui me fis réagir dés la 1ère seconde, c'est le fait qu'il me tienne et qu'il me carresse, qu'il mette sa main sur mes parties intimes alors qu'on ne se connaît que depuis ce matin dans une bibliothèque. Il va trop vite à mon goût c'est même plus vite que tout mes rancards avec mes précédents fiancés, c'est grave !! Surprise je fis ne petite mine et je sorti de dessus lui tout en expliquant pour ne pas qu'il se sente vexé:

-Ecoute Fusa, ça faiat presque un jour qu'on se connaît et on est déjà ensemble , mais le coût des caresse dans le cou et des calin sur toi comme là, je pense quen ça peu attendre le prochain rendez-vous et même dormir chez toi dans le mêm lit ça peut attendre. Je suis complétement creuvée, je meurs de faim je n'ai qu'une seule envie, c'est rentrer chez moi et attendre la nuit prochaine pour aller chasser.

Je m'assis sur une chaise de la table à manger et je mangeais le repas qu'il avait préparé. Lui était resté sur le canapé. J'espère que je ne l'ai pas vexé mon chewimais je l'aime comme mêm et au prochain rendez-vous je lui prouverais que c'est vrai. Malheureusement là tout de suite j'aimerais respecter mes principes.

-Ton repas est bon en tout cas, meilleur que celui du resto .

Deux minute plus tard:!

-Tu viens manger !!

Dsl c'est court !!!

Fusasaki observait attentivement la femme qu'il aimait, partagé entre deux émotions: la compassion et la honte. Certes il ne connaissait cette jeune femme que depuis un jour à peine mais, dès le premier regard, Fusasaki avait tout de suite compris que c'était elle la grande élue de son coeur et qu'il ne pourrait avoir l'esprit tranquil si cette femme l'ignorait. Cependant, il n'était pas bête; il comprenait très bien le désarroi de Alicia malgré son amour irréversible et réciproque pour Fusa.
Ca faisait presque deux minutes qu'il réfléchissait. Semblait-il être un monstre assoiffé de sexe et d'argent? Ou peut-être semblait-il être un con qui ne pense qu'à lui? Fusa ne savait plus ou donner de la tête... Il se ressaisit enfin, regarda das les yeux sa moitié, plongeant de plus en plus dans son regard insistant. Il ouvrit la bouche comme pour formuler une question mais, au dernier moment se ravisa. Laissant tomber les questions pièges, Fusa dit plutôt:

Désolé Alica. Je ne pensais pas normalement. C'est vrai. Depuis quand est-ce qu'on ramène chez soi une personne qu'on rencontre le jour même après un repas et lui dire de dormir avec lui. J'ai été le plus nul des nuls. À quoi je pensais, bon sang!? Je ne comprend vraiment plus rien. Mais comprend moi je te pris. Je t'ai vu à la bibliothèque. J'ai le besoin de rester avec toi. Au resto tu m'a montrer à quel point tu m'aimais. Si ce n'est pas par pure hypocrisie. Mais j'ai perdu la tête. Au début je ne voulais que te réchauffer. Te trouver un abri ou tu pourrais te reposer. Mais j'ai dépasser les évènements. Je me suis mis à penser qu'on étaient prêts. Mais j'avais juste perdu les pédales; Alors, excuse-moi.

Un petit sourire dénué de joie aux lèvres, Fusa retourna dans la cuisine pour se recueillir seul. Avait-il bien agit? Avait-elle compris le message? Il n'en savait trop rien... Le fait est que quelques minutes plus tard, il revint avec son plat et cette fois-ci ses précautions: il s'installa dans le fauteuil une place à gauche d'Alicia et lança tout haut avant demanger avec enthousiasme:

Bonne appétit...

[J'espere avoir répondu à tes epérances...]

J'avais arrêtée de manger durant le monologue de Fusa. je ne pensais pas qu'il était capable d'avouer ces torts ausi facilement. A chaque fois que je rencontrais un homme, il ne voulais pas avoir tort, il voulait absolument avoir raison; il voulait montrer que c'était lui le "mâle" et que nous, femme, nous n'étions rien comparé à eux.
mais quel idiote je fais , lui dire ça . J'aurais put le choquer, voir le mettre en colère. Et puis attends... Je ne suis pas chez moi !!! u_u''' Ahhh mais c'est vrai je m'incruste, et je lui fait la morale en plus mais quelle idiote, honte à moi !!! Quelle malélevée je fais !!
Il vint s'assoirt à gauche de moi et ce fut le silence à partir du moment où il dit:

- Bonne appétit...

Que Dieu me punisse pour cet acte déplacé, il est vexé à cause de moi !! Qu'est-ce que je peux faire ??...
Il était en train de manger le repas qu'il avait fait tout à l'heure: grain et sauce à l'ananas à ce que j'ai compris. Le dîner risquait d'être pénible par ma faute, je me devais d'intervenir !!!
Soudain, j'eut une idée:

-Attends, ne mange pas tout de suite !! criais-je

Je lui prit la fourchette des mains et la remplie avec ce qu'il avait dans son assiette puis-je soufflais dessus avant de la diriger vers sa bouche:

-Ouvre la bouche !!! hihihihi !!! Le petit train va rentrer !!!

Je le forçait à ouvrir la bouche et il n'eut pas le temps de riposter car j' arrivais rapidement avec la fourchette. Une fois la fourchette arrivée à destination, je sortit un petit rire puis je préparais une autre fournais pour lui qu'il prit sans broncher. Et ce fut ainsi pendant 10 longue minutes.

J'appréciai le temps que je passais avec cette charmante femme. C'était sûr: je l'aimais. En autant de temps, je n'avais aimé que peu de femme, et encore, ce n'était que par purs desseins.
Elle me faisait manger à la cuillère, comme à un bébé. Cela m'arracha un petit sourire de contentement. En fait, je n'étais pas si mal avec une femme. Je me débrouillais même très bien!
Dix minutes passèrent comme ça, savourant chacun des moment passés avec elle. Quand elle eut finit de me donner à manger, je soupirai de bonheur. Me penchant vers elle, je l'embrassai sur les lèvres, calmement. Je la regardai encore et encore. Puis, je me levai pour débarrasser les assiettes que je plaçai doucement dans le lave-vaisselle.
Je repensai à ce qui s'était passé quelques heures avant cela. J'avais rencontré un ange, pour moi. Un ange avec un drôle de caractère, c'était sûr.
Mais elle avait su faire jaillirent mes sentiments les plus tendres. Elle savait comment me rendre heureux autant qu'elle savait comment me réconforter. Elle s'occuper de mes problèmes, y trouvant chaque fois des solutions plausibles. Il n'y avait aucun doute, là dessus: elle m'avait été destinée...
Je me dirigeai vers le salon en lui disant:

Alors, Alicia, que veux-tu aire, maintenant?

Bien sûr, je n'avais aucune arrières pensées, se c'est ce que vous imaginiez. Je voulais juste savoir ses habitudes nocturnes pour pouvoir être sur la même longueur d'onde qu'elle.
Alors j'attendis calmement sa réponse, tenant ses mains et les caressant en même temps; j'étais visiblement amoureux et épris de cette femme à l'âme pure...