Nom : Flint.
Prénom: Alexander.
Age: 24 ans.
Sexe: masculin.
Orientation sexuelle: Bisexuel.
Rang: (Pour les vampires : noble, classe moyenne ou pauvre, idem pour les humains) Moyenne .
Groupe: (Les Corbeaux, Les Etres Lunaires, vampires neutres ou humains) Humain.
Description physique: (5 Lignes minimum)
Bien… il faut bien que je me présente. Je suis un homme de 24 ans qui fait vraiment son âge à ce que j’ai entendu des autres. Sans doute est-ce mon apparence qui reflète l’homme mature. Mais pour le moment mieux vos que je parle de mon apparence avant autre chose. Je suis bien grand et mesure 1m90 pour un poids de 50 kilos. Je porte généralement des tenue assez classiques comme des smoking ou des tenues de soirée quand je sors, bien sûr ensuite les gens me prennent pour un riche homme d’affaire hors je ne le suis pas et puis je ne porte pas ça par snobisme ou tout autre choses du même acabit, je trouvais ça juste confortable. Mes tenues décontractées se composent toujours au minimum d’une chemise manches longue et d’un pantalon. En dessous de mes vêtements, je cache une musculature « parfaite » (ni trop ni peu musclé) due à une activité sportive régulière, utile notamment dans mon utilisation quotidienne d’armes à feu. Ma carrure, contrairement à ma musculature est normale pour un homme de mon âge. Venons en à ma tête : elle est ronde et pas bien grande mais elle n’est pas minuscule pour autant. Mes cheveux noirs sont coupés courts et sont toujours en épis. Mes yeux sont de couleur noire et expriment la plupart du temps de la sévérité, un air dur qui semble rendre tout le monde méfiant de moi. Ajoutez à cela un nez et une fine bouche et vous aurez de quoi me reconnaître.
Description psychologique: (5 Lignes minimum)
C’est là que sa va devenir chaud à expliquer…. En fait, j’ai un grand défaut : je suis facilement irritable, c’est bien pour ça que je ne prend pas le temps de discuter avec la population et me contente de m’occuper de mes affaires comme de mes problèmes tout seul. Jusqu’à aujourd’hui la solitude m’a toujours suivi quel qu’en soit le moment et l’endroit, elle était toujours là, même quand je me faisais canarder par tout le monde. Je considère chaque individu que je rencontre comme un être existant sur terre, rien de plus, s’il ne me fait rien, je ne lui ferais rien, simple, non ? Par contre provoquez moi et là je vous garantie rien de bon autant pour moi que pour vous. Je suis aussi quelqu’un de très calculateur qui réfléchit avant d’agir, mais aussi parce que la logique est l’une de mes capacités les plus évoluées. Vous me comprenez ? Non ? Bon disons juste que je suis bon en maths et en sciences, assez pour calculer la trajectoire d’une balle de 9mm sur 500 m. Maintenant mes capacités cérébrales me servent aussi à autre chose que tuer, généralement quand je roule, poursuivit par telle ou telle personnes, ou que je me bat (déduction du prochain coup, points vitaux…). Sinon je n’ai rien d’autre à dire sur moi car finalement tout le monde peu changer… n’ai-je pas raison ?
Votre Histoire: (10 Lignes minimum)
Le passé… mais pourquoi allez vous vous attarder la dessus… mes origines ne sont pas vraiment très agréables à savoir. En même temps ça pourrait expliquer certaines choses. Vous voulez réellement savoir ? Bon asseyez vous et n’allez pas raconter ça à tout le monde. u_u
Primo : Je suis orphelin, donc ne vous attendez pas à ce que je vous parle de mes parents, je ne sais pas ce que c’est.
Je m’en souviens encore de ces jours gris. Un orphelinat perdu dans la ville criarde, bruyante et dangereuse pour les gosses que nous étions. En effet, les deals de drogues, le trafic d’enfant revenaient souvent dans nos oreilles pour hanter nos rêves. On portaient tous la même chose, un drap blanc cachant alors un vieux caleçon, le seul que nous avions, donc pour laver ça, il fallait pas être gêné par la nudité. Tss… de toute façon qui l’était dans cet orphelinat ? Personne… nous étions des hommes avant l’heure et pour certaines, sœurs comme fillettes, elles avaient perdu leur virginité. Pourquoi toute cette violence me direz vous : tout simplement parce qu’on était soumis, gentils, innocents, faibles, impuissants… appelez ça comme vous voulez, on se faisait niquer à longueur de journée par toute les pires pourritures qui puisse exister.
J’allais passer 12 ans dans cet environnement. En effet, à mes 12 ans, je fus vendu à un passeur de drogue. Comment ça vendu ? Vous croyez que je plaisantais lorsque je vous causais de travail d’enfant ? J’ai été vendu, pas adopté. Au yeux de ce type, nullement confiant, je savais bien que la seule importance que j’avais serais l’utilisation de mon corps et se servir de moi comme une mule. Il m’avait emmené chez lui et comme je l’avais déduit, il fallait que j’avale des capsules de drogues. Comme quoi il ne fallait pas me prendre pour plus con que je ne l’étais. Il aurait du y réfléchir à deux fois maintenant que j’y pense. Le type avait eu une immense envie de pisser, me laissant alors un moment seul dans la cuisine miteuse de son appartement. Je pris vite un couteau et l’attendait patiemment. Lorsqu’il revint, j’avalais une capsule et la garda dans ma bouche, faisant semblant de m’étouffer avec. Comme je l’avais prévu, il se précipita sur moi pour me faire la manœuvre d’Alzheimer. Je lui plantais alors mon couteau dans sa gorge. Le laissant agoniser, les 5 secondes qui lui restaient à vivre, je fis le tour du propriétaire. Je sais c’est bien rare de voir quelqu’un de si jeune agir ainsi. Et bien c’est simple, je vous l’ai déjà dit : là où je vivais, on devenait un homme avant l’heure, on a jamais eu ce que vous oserez appeler innocence. Il me fallait un endroit où me loger. Il n’y avait plus personne ici, c’était donné et bien ce fut prit par moi. Après une après-midi entière à découper le défunt au couteau, je m’en suis débarrassé en le jetant aux ordures auxquelles il devait appartenir. Je revins ensuite dans mon nouveau chez moi pour nettoyer mon travail et récupérer mes heures de sommeils. A mon réveil, il restait un problème capital, je devais me débarrasser de la drogue. Je fouillais alors dans les affaires de l’ex-propriétaire de l’appart, désormais moi, et je fini par trouver des vieux vêtements à ma taille, ainsi qu’un colt 45, arme de poing commune dans ce quartier. Je le mis dans ma poche, enfila un survêt et fourra la drogue dans le tissu du vêtement. Au final, cela m’avait rapporté au total près de 80000 €, de quoi vivre bien longtemps à l’abri des regards. Je passai alors 6 ans dans ce taudis. A quoi faire ? Bien je vais le résumer mais ne vous attendez pas aux détails. Je me suis cultivé (on m’avait appris à lire et à écrire à l’orphelinat) en lisant des manuels scolaires que je pouvais trouver dans les librairies même si elles servaient avant tout d’entrepôt pour certains dealers ; je rattrapais ainsi toute une scolarité tout seul, sans m’accorder de vacances. J’appris aussi à conduire une voiture, commençant les tours dans le parking à l’âge de 15 ans environs, je fini par participer à quelques rodéos urbains pour me faire de l’argent, un ans plus tard. J’appris aussi à me servir de quelques armes comme mon colt 45 ou des pistolets mitrailleurs voire de kalachnikovs (assez rare même s’ils étaient d’une grande précision).
6 ans plus tard, des hommes ont déboulé chez moi sans crier gare. Un gang ? Non trop bien organisé pour ça. Peut-être un commando d’élite, en même temps je n’en savais rien, l’un d’entre eux m’avait donné un coup de matraque à la nuque pour m’assommer. Lorsque je me suis réveillé, j’avais le crâne rasé et une combinaison militaire. Il y avait trop peu de lumière pour que je sache ou je suis, juste une lampe m’éclairant, attaché sur une chaise. Un homme s’est avancé vers moi et m’annonça une chose qui ne m’étonna pas :
« Tu n’a plus rien. »
Comme s’il m’apprenait quelque chose. Avait-je eu quelque chose qui m’appartenais réellement ? Non je n’avais rien qui m’était propre, à mon grand regret. Il m’annonça ensuite que je n’existais plus officiellement. Il ne m’avait donné aucun nom, juste le matricule 458693. Alors il m’envoya dans un camp militaire ou je reçu un entraînement intensif chaque jour sans pouvoir goûter au repos. J’achevais alors ma connaissance des armes a feu en apprenant à maîtriser les fusils d’assaut et de précisions ainsi que les ADM, mais aussi un entraînement physique intensif avec notamment le combat au corps à corps spécialement utilisé par l’armée spetsnaz me disait t’on.
Mon apprentissage, dura 2 ans. On m’envoyait ensuite aux 4 coins de la terre pour y accomplir diverses missions de destructions, de reconnaissance où de lutte antiguérilla. J’étais finalement devenu une sorte de mercenaire sans toucher une once de bénéfices. Cette vie je l’ai continué jusqu’à mes 20 ans environs lorsque quelque chose de bien important se produisit dans ma triste vie.
On m’avait envoyé au Moyen-Orient pour tenir une position. Alors que j’étais de corvée d’eau, je pus voir entre les dunes, une vieille carcasse qui ne tardera pas à être la proie des vipères. Je me suis approché dés lors et je pus voir que c’était un jeune soldat aux cheveux châtains foncés, blessé par balle et sans doute perdu dans le désert. Je me penchai pour sentir son pouls. Il vivait encore…
Ca vous est déjà arrivé de voir un petit chat tremblant sous la pluie, et que vous savez qu’il est interdit de ramener des animaux chez vous ?
Songez à ce problème, et vous saurez quel fut mon dilemme. Je fini par le prendre en pitié. Je le fis entrer discrètement dans le camp et je me chargeais de lui prodiguer les premiers soins, lui injectant de la morphine et appliquant un bandage à sa blessure. Je lui donnais une gorgée d’eau dans son sommeil et lui mit un bâillon pour qu’il ne parle pas. Il ne se réveilla pas. Je prit une dernière fois son pouls pour m’assurer qu’il n’était pas mort, non il ne faisait que dormir. J’en profitais alors pour faire un somme à mon tour. Je ne rêvais de rien ou alors je ne m’en souviens plus. Je sentis alors quelque chose m’approcher dans mon sommeil. J’étais réveillé, gardant mes yeux fermés. Je senti ensuite que quelque chose caressait mon visage.
« Grand frère ? »
J’ouvris alors les yeux et plaqua l’individu à terre. C’était mon rescapé qui avait jugé bon de me toucher en plein sommeil.
« Ne te fais pas de faux espoir… je ne suis pas ton frère. »
Je lui expliquai alors ce qu’il s’était passé, que je l’avais trouvé et caché dans ma tente. Il s’était présenté alors comme Alexander Smith, montrant ces plaques comme preuve. Cela m’intriguait un peu car il m’annonçait ça comme un gamin qui fanfaronnait de ce titre. Il paraissait si jeune, cela pouvait peut-être expliquer son air gamin et ces attitudes pour le moins enfantines. On passa une journée dans ce camp. Le lendemain à l’aube, je pris une jeep et m’enfuyait en plein désert avec lui. Je connaissais un peu les environs vu que j’y faisais mes rondes dans certains secteurs. Je savais très bien que les autres mercenaires étaient à ma poursuite mais j’avais l’avantage de connaître le terrain et cette zone d’ombres. On arriva au bout de 2 heures dans un petit village. On n’eut pas de mal à se faire accueillir, ils avaient une frousse bleue des armes. Je n’avais même pas pris la peine de les menacer qu’ils nous avaient déjà trouvé logement et nourriture. Une occasion rêvée lorsqu’on le voyait ainsi. J’appris ensuite que ces types étaient en fait une tribu nomade et qu’ils changeaient d’endroit toutes les semaines pour éviter les interventions brutales de l’armées ou des mercenaires. Lorsqu’Alexander l’appris, il fut bien malheureux d’être devenu soldat, éprouvant du remord pour les divers massacres auxquels s’adonnaient les militaires par moment. Il devait être militaire depuis peu pour ne pas l’avoir comprit plus tôt. Les nationalités, telles qu’elles soient, entretiennent toujours un sentiment de haine aux soldat pour l’ennemi pour ainsi assurer plus de férocité et donc d’efficacité au combat. Mais cela ne restait pas sans conséquences car, emportés par leur frénésie, les militaires pouvaient faire preuve d’une grande brutalité et inclure les civils à leur tableau de chasse, ne manquant pas d’humilier les femmes à l’extrême lorsque l’occasion se présente. Ca je le vivait depuis 4 ans : 4 ans à assassiner je ne sais combien de personnes en gardant la tête froide.
Quoi qu’il en soit, on avait décidé de faire partie de la troupe de nomades. On avait alors passé 2 ans à fuir les militaires, les mercenaires ou tout autres sortes de dangers. On finissait par s’y accoutumer. Et puis je remarquais qu’au fils du temps, ma relation avec Alexander devenait de plus en plus importante à mes yeux. Il ne changeait pas, bien au contraire, il demeurait ce soldat malchanceux et affectif qui me voulait reconnaissance éternelle même si je lui refusais toujours ça. C’est moi qui changeait et m’attendrissais chaque jour en sa compagnie. Nous nous rencontrâmes, nous fûmes amis et l’on avait fini par devenir plus encore. Et oui… j’étais finalement tombé amoureux de lui, non pas parce que c’est un mec et que je suis gay (je suis bi je le rappelle --‘) mais parce qu’il était bien le premier à se dire mien, j’avais finalement quelque chose de propre grâce à lui : réfléchissez y et vous trouverez sans doute.
Je vivais alors mes plus beaux moments en sa compagnie, près à laisser une vie misérable derrière moi, j’avais finalement des sentiments et je devenais bien moins froid. Mais mon bonheur fut de courte durée… J’y repense encore même si mon air impassible ne le laisse pas voir. Un jour, il fut mordu par une vipère des sables, aucun des remèdes des indigènes n’avait put le sauver. J’étais resté à ces côtés jusqu’à son dernier souffle. Dés lors, je me suis levé, retourné et sorti de la tente, laissant une larme filer sur mes joues. Le chef de la tribu m’avait donné de quoi quitter le continent. Je partis alors vers la ville la plus proche, emportant avec moi une photo et les plaques d’Alexander. Arrivé en ville, je pris le bus pour allez dans une autre ville cette fois ci portuaire. Avec les rumeurs, je embarquer dans un bateau destiné à transporter ceux qui veulent immigrer. Lorsque la terre fut en vue, l’un des marins me demanda mon nom avant de débarquer. Je répondit d’une voit ferme en montrant les plaques :
« Alexander Flint. »
Finalement, son prénom et son nom seront resté miens même après sa mort, cela allait s’annoncer difficile d’oublier alors que je vivais désormais avec son nom. Mais autre chose me travaillais : la tête des membres d’équipages, tous avaient le teint horriblement clair et possédaient la peau froide alors qu’il faisait plein soleil. Je remarquais aussi que ces types sortaient rarement le jour. Mes soupçons les plus fous s’étaient validés alors que j’entendais deux marins causer entre eux. C’était bien des vampires. Le fait de savoir s’ils existaient vraiment ou pas n’était pas vraiment mon problème, je devais trouver une solution pour éviter de devenir un repas de choix pour leur hôte. J’attendis alors d’être proche de la terre pour me lancer à la mer et quitter le navire précipitamment. Ils n’avaient pas essayé de rattraper. Je nageais alors tranquillement vers la côte. Une fois à terre je me dirigea vers la ville. J’allais alors à la banque pour faire un prêt puis j’allais à la mairie pour faire mes papiers, nécessaires à l’obtention de mon logement. Pour l’instant cela ce résumait à une simple chambre d’hôtel. Je me mis alors en quête de petit boulots, offrant aussi mes services aux plus offrants. Au bout de peux de temps, je fus capable de régler mes dettes et vivre comme un homme libre, menant une existence pour le moins normale… pour le moment.
Code : (Il se trouve dans le réglement .)
- Spoiler:
Validé par Sia .
beeeuh!! =-=
Hors forum
Prénom: Escapist (Vous aurez jamais mon vrai prénom !! *sors*)
Age: 18 ans maintenant ! Yeah !!!
Comment avez-vous découvert le forum ? : 1) je connais la fonda
2) via le partenariat d’un fow (inutile que je précise lequel u_u)
Dim 20 Juin - 13:53
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